Vous vous interrogez sur le chemsex ? Découvrez les drogues chemsex, comment rester en sécurité et quel soutien chemsex est disponible.
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En termes de sexe, le caprice n’en manque pas, particulièrement quand il est question de donner des noms insolites à des activités sexuelles. Après le speed bump, le hotdogging ou encore l’axilisme, il y a maintenant le bouboupisme. Un nom assez singulier, mais qui renferme tant de mystère. Mais qu’est-ce que c’est en réalité ? Découvrons ensemble !
Il se peut que de nombreuses personnes soient fans de cette pratique sans même le savoir, puisque ce nom illustre décidément une pratique assez habituelle. Effectivement, quand on évoque le bouboupisme, on parle évidemment d’une activité sexuelle qui doit nous fournir de l’excitation en manipulant les seins.
Les personnes qui l’exercent ont alors tendance à pincer, lécher, caresser, mordiller, claquer ou encore chatouiller les seins et les tétons. Peu importe le sexe de l’individu par ailleurs. Chaque personne peut le pratiquer comme bon lui semble. Vous avez le choix de vous y mettre en douceur et de prendre le temps qu’il vous faudra pour que votre partenaire soit au sommet de l’excitation. Ou jouer intensément avec les seins de votre conjoint. Et cela avec son accord sexuel bien sûr.
En effet, c’est une étape obligatoire pendant les préliminaires afin d’intensifier l’envie. Aussi bien pour l’homme que pour la femme, le fait de « boubouper » crée vraiment une ambiance torride lorsqu’il est exécuté dans les règles de l’art. La plupart des amateurs se côtoient effectivement du sadomasochisme par le biais de cette activité puisqu’ils convoitent un pinçon ou une morsure intense et soutenue et font toutefois usage des pince-tétons.
Même si l’appellation de cette activité vous semble bizarre … Elle est décidément bien ancrée dans les coutumes sensuelles habituelles, confirme le journal of Sexual médecine durant une recherche. Découlant de cette étude, il a été confirmé que 82 % des femmes procurent plus d’excitation avec la pratique du bouboupisme. Cependant, il n’y a pas que les femmes qui apprécient se faire boubouper. En effet, 52 % des hommes attestent avoir des excitations plus intenses lorsqu’on joue avec ces tétons.
Il faudra aussi noter que la gestation ou la période des règles savent inciter la sensibilité des seins et des tétons chez les dames. Et alors stimuler plus ou moins sur le stimulus éprouvé. Cette partie de notre corps dispose d’une peau assez fine. Ainsi, les câlineries de la poitrine précipiteraient certains endroits sensibles du vagin, du clitoris et du cortex. Ce qui explique les perceptions sensuelles qui peuvent toutefois mener jusqu’à l’orgasme témoigne le grand live de la gynécologie CNGOF. Cependant, soyez-en rassuré.e puisque chaque individu ne se ressemble pas … Et il se peut que vous ne vous trouviez pas trop vulnérable à l’excitation de cet endroit. Et ce n’est pas un problème.
Effectuer le bouboupisme sur vos tétons ou ceux de votre compagne exige un accord mutuel conclu à l’avance. Pour obtenir de l’excitation à l’aide du bouboupisme, commencez avec délicatesse. En effet, chaque personne dispose de sa propre perception. Pour commencer, servez-vous tout d’abord de vos mains pour caresser délicatement les seins de votre partenaire. Si le désir est exprimé et approuvé par votre partenaire, vous pouvez tenter de courts pinçons sur les tétons et modifier l’intensité.
N’hésitez pas à accompagner vos mains de votre bouche. Les seins peuvent également recevoir des embrassades. Pour bien réussir un bouboupisme et faire grimper l’excitation de votre compagne, il faut savoir prendre son temps afin de transmettre votre désir à votre partenaire.
Les tétons et les mamelons sont des zones totalement érogènes. Et leur provocation est nécessaire pour mieux profiter d’une libido épanouie. D’après une recherche conduit par un neuropsychologue de la faculté de Bangor et ses collaborateurs de l’institut supérieur de Swansea, les femmes disposent de six endroits extrêmement érogènes.
À savoir la partie supérieure de la nuque, les lèvres et la bouche, le vagin, le clitoris, les tétons et les seins.
Du côté des hommes, ils ont classé à plus de 70 % la provocation causée par la stimulation de la bouche, des lèvres et du pénis. Les tétons se placent alors en 6e place en matière d’excitation chez les hommes.
Avec la pandémie et les confinements, la sexualité des Français a évolué. Ainsi que leur consommation de sextoys. Ces derniers ont fait un véritable bond au niveau des ventes et les boutiques en ligne l’ont bien compris. Pour notre plus grand plaisir… Alors, voici 6 conseils pour bien choisir votre sextoy.
Merci Covid-19. Grâce à ce virus, les sextoys qui avaient déjà le vente en poupe ces dix dernières années, a vu ses chiffres de vente parfois multiplié par 5 ou 6, surtout pour certains modèles bien connus. De plus, les stratégies de vente ont évolué. Etant confinés, nous ne pouvions ou ne voulions pas aller en magasin (et c’est parfois gênant si on y croise son voisin), la vente en ligne a donc explosé pour ce genre d’article. Et on ne va pas s’en plaindre.
Il ne sera pas question ici de débattre des bénéfices du châtiment corporel sur nos jolies petites têtes blondes. Les politiques, les parents et les associations du monde entier alimentent assez les discussions pour cela. Non, nous parlerons ici de fessées érotiques données et reçues entre deux adultes consentants.
Qu’elle soit déculottée ou dans une tenue en latex (article 43 2), donnée avec le plat de la main ou avec le bout des doigts, qu’elle soit délicate ou dans un univers sadomasochiste, la fessée érotique ne laisse jamais indifférent.
Les aphrodisiaques sont utilisés depuis la nuit des temps (certains placent le curseur au quatrième siècle avant Jésus-Christ pour les premières traces d’allongement de pénis de l’Antiquité) et ont toujours fasciné les hommes.
Garder Popaul au garde-à-vous est en effet primordial pour assurer les performances sexuelles de haut vol et combler ces dames pendant toute une nuit, ou tout du moins plus que 4 minutes.
Comme beaucoup de paraphilies, la formicophilie tient son étymologie du latin : formica (la fourmi) et philie (qui aime) pour l’attirance sexuelle que l’on ressent non pas seulement pour les fourmis, mais pour les insectes de manière générale.
Sans aucun doute, cette attirance sexuelle est une déviance sexuelle mais qui, au contraire de certaines paraphilies, ne met pas en péril la société bien que son évocation ne suscite pas nécessairement l’orgasme au premier venu.
Quand le sexe rencontre la technologie, on obtient ce qu’on appelle les « robots sexuels ». La machine utilisée à des fins sexuelles est un concept courant dans de nombres films, séries télévisées et jeux vidéo de science-fiction.