S’il y a des passions plus étranges que d’autres, le fellaporte en fait définitivement partie. Avec l’association du mot « fellation » et « porte », on obtient une déviance sexuelle venant tout droit du Japon, comme le body sushi.
Japon ou Corée, les sources divergent. Mais en tout cas, la pratique reste la même. C’est début 2010 que ‘ton voit apparaitre cette tendance sexuelle hors norme. Cette dernière s’est développée comme une trainée de poudre via les réseaux sociaux et Internet (oh surprise). Et particulièrement chez les jeunes filles.
Une origine obscure
On ne sait donc pas avec certitude de quel pays est arrivée cette drôle de pratique. Mais elle en excite plus d’un. Est-ce le côté paraphile ? Le mime de la fellation ? Difficile de donner une réponse certaine. Tout ce que l’on peut dire, c’est que le point de départ est un projet artistique intitulé « La fille de la Poignée de Porte », sujet d’un amazon.co.jp avec des photobooks exclusifs. Et Internet fit le reste. Une chose qui ne devrait pas vraiment nous surprendre n’est-ce pas…
Le fellaporte, pour qui ?
Sans surprise, on trouvera majoritairement des jeunes filles japonaises en train de lécher des poignées de porte. Qu’elles soient naturelles ou de style hentaï, on trouve de tout. Le point commun ? La sensualité qu’elles mettent à lécher cette fameuse poignée. Et comme un sexe, on aime qu’elle soit grosse, longue et ferme. Ce mime de fellation a connu un grand succès dès le départ. Il faut dire que le japon est adepte des pratiques un peu particulières comme le léchage de globe oculaire ou le tentacle sex.
Dans tous les cas, oeil de biche, langue coquine et sourire en coin, voilà comment se mettent en scène ces jeunes nippones pour attirer les followers. De quoi faire facilement une transposition avec un pénis.
Où retrouver les adeptes ?
Sur Internet bien sûr. Que ce soit des clubs en ligne, des forums, des comptes instagram et autres réseaux sociaux … En cherchant un peu, vous trouverez facilement. Cependant, cela reste une niche. Mais on peut légitimement se demander ce qui exacerbe cette tendance : les écrans ? La solitude ? Le porno ? Grande question…